Ce mode de prise de décision, de plus en plus encadré par un ordre du jour en grande partie imposé par la loi, est d’abord de nature juridique car il garantit le bon fonctionnement du syndicat.
Les décisions de l’assemblée générale sont ensuite la traduction d’un vote, exprimé à différentes majorités, par lequel sont adoptées ou rejetées des projets de résolutions.
Il s’agit donc de l’instrument qui formalise les choix faits par les copropriétaires au terme d’un processus que l’on peut qualifier de démocratique, quand bien même l’on serait souvent tenté de qualifier la copropriété de démocratie imparfaite.