Si le marché locatif a retrouvé un peu plus de dynamisme, les loyers augmentent moins que l’inflation et ils baissent lors d’une relocation. Cette atonie du marché se ressent sur l’effort d’amélioration des logements, qui est à un très bas niveau. Détails de la dernière analyse de l’observatoire des loyers CLAMEUR.
Le taux de mobilité résidentielle des locataires est l’indicateur de référence pour mesurer l’activité du marché. En 2018, la proportion de locataires qui ont changé de logement au cours de l’année a atteint 30,2 %, ce qui est un niveau supérieur à la moyenne sur longue période (28,7 %). En 2017, ce taux avait reculé à 28,4 %. Il s’est donc redressé nettement.